« Ce sera la fin du monde. Une terrible détresse. Le soleil et la lune perdront de leur éclat. Les étoiles tomberont. Les cieux seront ébranlés. Ce sera le chaos. Alors dans les nuées, viendra le Fils de l’homme, le juge souverain. » Nous aimons nous faire peur. Nous aimons tout ce qui a un air d’apocalypse. Et les sectes en profitent, mais il n’y a pas qu’elles. Car nous aimons les dates, surtout les chiffres ronds. On prépare l’an 2000. Pourquoi serait-ce une date plus importante qu’une autre ? Nous aimons tout ce qui a allure de fin des temps.
Mais Jésus avait dit : « Que la comparaison du figuier vous instruise. Quand ses branches deviennent tendres et que sortent les feuilles – vous le savez très bien – c’est que l’été est proche. » Ainsi c’est dans la joie qu’il nous faudrait penser à cette fin du monde. Loin de nous ces horreurs et tous ces cataclysmes. Les prophètes de malheur qui cherchent à nous faire peur. Les démons qui attendent, une fourche à la main. Et le feu qui consume. Où Dieu est de retour, le soleil est brillant, la terre se réchauffe, la nature reverdit, et les arbres bourgeonnent. C’est le retour du beau temps.
II avait ajouté : « Sachez-le, vous aussi, le Fils de l’homme est proche, il est à votre porte. » Alors, j’ai regardé. Pas besoin de scruter les astres ni le ciel. J’ai vu autour de moi. Ceux et celles qui sont comme autant de soleils. Qui donnent de la chaleur à ceux et celles que glacent l’abandon, la misère, l’oubli, la solitude. Qui donnent de la lumière à ceux qui ne voient plus clair, à celles qui désespèrent. Qui sont consolation pour ceux et celles qui pleurent. Qui ouvrent la route à Dieu, aujourd’hui, pas demain. Alors en les voyant, je me suis dit : « II est temps ! »
J je vais poster un commentaire je me souviens de quelqu’un qui me disait » ce n’est pas la fin du monde c’est la fin d’un monde ». Comme elle avait raison.
Dans 7 mois et demi de la peur qui nous submerge par tout ce que nous entendons prenons d’abord acte de tout ce que le Seigneur pour nous indiquer et nous guider ..
Par ses Bergers qu’Il nous envoie, qui viennent parfois de plus en plus loin, écoutons les nous mener vers la voie de la Vérité du Christ qu’ils ont l’honneur de représenter.
En chaque être ( je l’avais mentionné) c’est Jésus qui nous quémande un peu de son amour..,. Écoutons ce qu’il a à nous dire comme il l’a si bien dit à Sainte Faustine.
( Mon texto d’aujourd’hui n’a pas su être complet à cause d’un bug)
Leçon avec fois et confiance et la confiance et la foi se complètent l’une dans l’autre.
Elles ne sont pas séparées elles ne font qu’une.
Dans le Christ, dans l’amour de la Sainte Vierge Marie Reine des Cieux.
Avec l’émotion de tous ceux de notre paroisse qui nous ont quittés, que nous avons côtoyés et aimés.
Et de tous ceux partis vers une renaissance.
aimés.